nous n'avons pas loisir de la craindre. si elle est autr. je m'aper?ois qu'à mesure que je m'engage dans la maladi. j'entre naturellement en quelque dédain de la vie Je trouve que j'ai bien plus affaire à digérer cette résolution de mourir quand je suis en santé, que quand je suis en fièvre D'autant que je ne tiens plus si fort aux commodités de la vi. à raison que je commence à en perdre l'usage et le plaisir, j'en vois la mort d'une vue beaucoup moins effrayée Cela me fait espérer qu. plus je m'éloignerai de cellelà, et approcherai de cellec. plus aisément j'entrerai en composition de leur échange Tout ainsi que j'ai essayé en plusieurs autres occurrences ce que dit César, que les choses nous paraissent souvent plus grandes de loin que de prè. sac longchamp
j'ai trouvé que sain j'avais eu les maladies beaucoup plus en horreur, que lorsque je les ai senties. l'allégresse où je sui. le plaisir et la force me font para?tre l'autre état si disproportionné à celuilà, que par imagination je grossis ces incommodités de moitié, et les con?ois plus pesante. que je ne les trouv. quand je les ai sur les épaules J'espère qu'il m'en adviendra ainsi de la mort Voyons à ces mutations et déclinaisons ordinaires que nous souffron. comme nature nous dérobe le go?t de notre perte et empirement Que restetil à un vieillard de la vigueur de sa jeuness. et de sa vie passée ?Hélas ! quelle portion de vie restetil aux vieillards ? César à un soldat de sa gard. sac longchamp pas cher recru et cassé, qui vint en la rue lui demander congé de se faire mourir, regardant son maintien décrépit, répondit plaisamment.Tu penses donc être en vieQui y tomberait d'un seul coup, je ne crois pas que nous fussions capables de porter un tel changement Mai. conduits par sa mai. d'une douce pente et comme insensibl. peu à peu, de degré en degré, elle nous roule dans ce misérable état et nous y apprivoise. si que nous ne sentons aucune secouss. quand la jeunesse meurt en nou. sac a main longchamp
qui est en essence et en vérité une mort plus dure que n'est la mort entière d'une vie languissant. et que n'est la mort de la vieillesse D'autant que le saut n'est pas si lourd du malêtre au nonêtr. comme il est d'un être doux CHAPITRE XX 86Page 92Essais et fleurissant à un être pénible et douloureux Le corp. courbe et plié, a moins de force à soutenir un faix. aussi a notre ame. il la faut dresser et élever contre l'effort de cet adversaire Car, comme il est impossible qu'elle se mette en repos pendant qu'elle le craint. si elle s'en assure auss.

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